Sans faute, c'est encore pire…
- Catherine Namur
- 11 avr.
- 1 min de lecture

Les temps sont aux nouvelles inquiétantes avec des mots que l'on n'avait pas ou plus lus. Le pire pour parler du « pire » est sans doute la présence de mastics (inversion de lignes, de mots ou de caractères), de coquilles… Superflues, malvenues, ces fautes détournent l'attention sur la forme plutôt que sur le fond, un travers plus que jamais d'actualité.

Voici des erreurs banales (« ème » pour « e », l'oubli de « nt » pour conjuguer à la troisième personne du pluriel, et la confusion entre un « ez » et un infinitif) qui tombent mal quand on évoque des sujets graves.

À commenter un réel déluge, l'auteur devait être sous l'eau, qui en perdait la notion de temps et peut-être d'espace – d'où la répétition de « rues » dans la même phrase, et la virgule qui semble bien collée à « certaines ». Ajoutons le quasi doublon avec « inondations » et « inondées », et l'espoir de finir la lecture de l'article est englouti.

La suite ne nous dit pas pourquoi autant de prisons, mais l'histoire se souviendra de ce fait… peut-être.

Le nombre fait la force : c'est ce qu'il fallait démontrer avec ce « s » à « convaicu » qui nous fait penser qu'il n'y a pas un Vladimir Poutine mais plusieurs…
Les temps étant ce qu'ils sont, prenez bien soin de vous. Laissez Lu & Approuvé s'occuper de vos documents, dossiers de presse, rédactionnels et chassez les nuages qui s'amoncellent au-dessus de votre planning, menacent votre organisation. Si vous rêvez de textes clairs, de tournures lumineuses et de beaux mots, appelez-moi.
À toutes et à tous, je souhaite un mois d'avril soleilleux !
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